Les étapes pour trouver son Ikigaï !
Il s’agit du terme à la mode en ce moment dans le domaine du développement personnel.
Tout le monde en parle et nous avons beaucoup de gurus qui vous promettent la solution miracle pour le trouver.
Mais trouver son Ikigaï n’est pas forcément facile et cela dépend beaucoup de sa situation actuelle. 🤔
Nous n’allons pas re inventer la roue dans cet article mais plutôt donner le chemin le plus emprunter pour trouver son Ikigaï. Celui qui aura donc le plus de chance de nous servir dans notre recherche du bonheur. 🙏
Ainsi nous pourrons vivre chaque jour dans l’accomplissement et la gratification.
Trouver son Ikigaï : Commencer par ce qu’on aime !
Logique n’est ce pas ? Mais malgré tout pas aussi simple que cela.
Pour véritablement commencer à mettre toutes les chances de son côté de trouver son Ikigaï il va falloir réussir à lister un maximum de choses que nous aimons faire. 🤩
Dans cet objectif nous allons décomposer la tâche en deux parties.
Prendre du recul
Dans son quotidien, tout s’enchaine de façon quasi-automatique.
Il n’y plus vraiment de réflexion sur ce qu’on aime faire ou non, on le fait parce qu’on a l’habitude de le faire.
On est plus ou moins coincé dans une boîte ou nos possibilités d’actions ne sont composées que de ce que nous faisons la plupart du temps.
Nous avons perdus notre objectivité sur nos actions et nos envies en sont étouffées. 😥
Mais heureusement on peut s’en rendre compte et agir sur cela. Ne plus dépendre de nos habitudes peut nous ouvrir à de nouvelles perspectives.
Ainsi Pour trouver son Ikigaï nous devons dans un premier temps ne pas penser avec notre conditionnement actuel.
Ne pas se limiter avec les possibilités que nous avons actuellement et ce que nous voyons dans notre entourage proche.
Il existe énormément plus au delà de notre horizon de pensée ! 🤯
On prend alors le maximum de recul, on enlève toutes nos pensées limitantes et on peut passer à l’étape suivante.
“Prenez du recul et regardez les choses sous un nouvel angle. La clarté vient souvent avec une perspective fraîche”
Rosie Thomas
S’interroger sans limite
On arrive à l’étape la plus agréable, celle ou on sourit en la faisant. 😊
En effet, penser à ce qui nous plait est agréable et en faire la liste encore plus !
On peut donc commencer par prendre son plus beau stylo et plusieurs feuilles de papier. Le but ici n’est pas de se limiter en quoi que ce soit.
On va plus faire un système d’entonnoir donc plus y’en a au début et mieux ce sera pour trouver son Ikigaï.
Commencer par lister tout ce qui nous plait sans réfléchir, en épuisant bien toutes ses idées même les plus folles ! Tant que ça nous plaît il faut les mettre sur notre liste.
Alors ? C’est bon on peut passer à l’étape suivante ? 😂
Pas si simple n’est ce pas ? On bloque bien plus vite que l’on pourrait le penser.
Pourtant on a pleins de choses qui nous plaisent ! Mais notre liste reste ridiculement petite.
Nos idées sont comme coincées et ne viennent pas à nous même en y réfléchissant c’est laborieux. Mais il ne faut pas procrastiner, cela peut changer la suite de notre vie.
Voici certaines idées pour agrémenter notre liste de plus de choses qui nous plaisent :
- Tout ce qu’on aimait faire étant petit
- Ce qu’on ne peut plus faire actuellement par manque de temps
- Ce qu’on voudrait faire si nous n’avons pas à nous soucier du coût
- Ce qu’on ferait si nous n’avons pas d’obligations
- Si on était plus jeune on ferait quoi ?
- Les études qu’on aurait aimé faire
- S’inspirer de son entourage pour trouver des idées d’activités qui nous plaisent
- Ce qu’on pourrait payer pour faire
- Ce qu’on aime regarder
- S’imaginer la plus belle vie que l’on pourrait/voudrait avoir
Normalement la liste devrait être un peu plus fournie dorénavant. Mais il ne faut bien sûr pas oublier de garder son ouverture d’esprit. 😉
Voir grand ne doit pas être une limite et mettre dans sa liste des choses qui devraient nous plaire sans que l’on ait eues la chance de les essayer est important ! Il faut mettre toutes les chances de son côté pour trouver son Ikigaï.
Plus elle est longue et mieux ça sera. 😏
Trouver son Ikigaï : Ce dont le monde a besoin
C’était sympa de faire sa liste n’est ce pas ? Maintenant ça le sera un peu moins. 😂
Mais rien de méchant ! On va juste commencer à élaguer un peu pour se rapprocher de notre Ikigaï.
C’est bien d’avoir pleins de choses que l’on aime, mais il faut encore que cela puisse servir aux autres. Sinon cela ne pourra jamais remplacer notre métier.
“Le bonheur ne vient pas de ce que l’on reçoit, mais de ce que l’on donne.”
Benjamin Franklin
Faire le tri
Pour commencer à faire son tri il faut encore définir ce qui peut être utile aux autres et ce qui ne peut l’être.
Ne rentre pas dans la case de l’utile ce qui va à l’encontre du bien être des autres ou qui ne leur apporte rien.
Je les vois ceux qui ont mis « dormir » dans leur liste ! 🤣 Bien que je sois sûr que l’on pourrait trouver un moyen d’en faire un métier, celui-ci ne rentrerait pas dans la définition de l’Ikigaï.
Non plus sérieusement, ici nous devons surtout parcourir notre liste et pour chaque élément se demander si cela apporterait une contribution au monde.
C’est une étape délicate et qui demande un peu de réflexion. Il s’agit pour moi de l’étape la plus compliqué.
Mais cela en vaut le coup car mieux on élague ici et plus facilement nous trouverons notre Ikigaï à l’arrivée de notre réflexion.
Nous devons donc enlever de notre liste tout ce qui n’apporte aucune contribution aux autres de quelque manières que ce soit. Si le seul bénéfice de l’accomplissement de la tâche nous revient cela ne peut rentrer dans ce qu’on appelle l’Ikigaï.
Voici par exemple quelques éléments que j’ai retirés de ma liste à cette étape :
- Faire chier les gens (on ne juge pas 🤣)
- Me promener
- M’améliorer
- Prendre soin de ma santé
- Regarder des reportages
- Jouer aux jeux vidéos
Bon je pense qu’on aura compris le principe. Nous pouvons passer à la suite.
Garder l’esprit ouvert !
Il arrive souvent qu’à cette étape nous avons de nouvelles idées qui nous viennent. Et c’est très bien !
Il faut les rajouter car des activités qui pourraient paraître inutiles pour les autres peuvent se décliner de façon à apporter quelque chose au monde.
Prenons par exemple ma précédente liste et voici ce qui peut en ressortir en réfléchissant autrement:
- Faire chier les gens – Rien à en tirer, je suis juste bizarre 😅
- Me promener – Pourrais faire partie des tâches d’un vigil ou d’un garde forestier mais les autres tâches de ces professions ne me conviennent pas. On retire toujours
- M’améliorer – Partager mes avancées, mes découvertes et mes échecs afin d’aider et d’échanger avec le plus grand nombre. L’idée peut être gardée
- Prendre soin de ma santé – Comme le point précédent
- Regarder des reportages – Donner des avis et appréciations pour aider ceux qui recherchent ce genre de contenu. Mais trop rébarbatif pour moi. A retirer
- Jouer aux jeux vidéos – Se créer une communauté et partager ses sessions de jeux en streaming ou sur les réseaux. A garder
Cela permet de ne pas retirer directement ce qui parait n’être qu’un apport personnel et d’entrevoir les possibilités que cela peut nous faire offrir aux autres.
Plus on a bien réfléchis à la première étape et plus cette étape sera longue. Mais on obtiendra des réponses sur nos envies et notre contribution potentielle au monde et de nouvelles perspectives insoupçonnées. 😉
Trouver son Ikigaï : Ce pourquoi on peut être payé !
Dans la quête de la découverte de son Ikigaï il se peut que l’on doive repartir à l’étape une avant d’avoir fini le cycle des questions. En effet on peut arriver à cette étape et ne plus avoir assez d’idées.
Ce n’est pas forcément une mauvaise chose, dans les premières fois on aura toujours tendance à lister peu d’activité car nous ne serons pas habitué(e) à le faire.
Si par contre on est arrivé(e) à cette étape avec assez d’éléments on peut commencer à filtrer de nouveau. 🤔
Les métiers qui existent
Nous pouvons être surpris(e) des différentes professions qui peuvent se dégager de ce qu’on aime. On y aurait pas souvent pensé(e) mais au final elles correspondent en tous points à nos goûts.
Normalement si notre quotidien n’est pas trop loin de nos préférences nous aurons dans la liste notre métier actuel. Ou tout du moins des éléments qui s’en rapprochent. 😅
C’est en général à ce moment qu’un schéma se dessine et qu’une ou plusieurs idée(s) ressort(ent).
Un peu perdu(e) ? Je m’explique !
Pour ma part, c’est dans la démarche de vouloir trouver mon Ikigaï et à cette étape que je me suis rendu compte que je souhaitais inconsciemment transmettre.
Transmettre quoi, je ne le savais pas encore. (En vrai je le sais peut être toujours pas aujourd’hui 🤣)
Mais il apparait dans ma liste diluée cette envie de partage. Le métier idéal serait donc en lien avec le partage et la transmission.
C’est donc un peu dans la même logique que nous pouvons identifier des idées principales, des envies qui se rejoignent et qui peuvent en définitive sortir totalement de ce que nous faisons actuellement.
Mais aucune inquiétude si ce n’est pas encore le cas, quelques fois il faut être plus avancé(e) dans le tri pour s’en rendre compte.
Avant tout, gardons l’esprit ouvert !
Ce qui sort de l’ordinaire
La plus grande difficulté est de ne pas se cantonner à ce qui existe actuellement.
On est pas là pour re inventer le monde mais d’une part nous ne pouvons connaitre toutes les professions qui existent et deuxièmement de nouveaux métiers, ou de nouvelles façons de faire les anciennes professions, voient le jour régulièrement !
Nous aurons donc assez peu de filtre à faire à cette étape. Ce sera plus une re adaptation de notre liste en professions éventuelles.
Toujours en gardant à l’esprit les points précédents pour être en accord avec nos envies et trouver son Ikigaï. 😎
“Le plus grand accomplissement professionnel est de trouver un travail qui vous passionne, qui vous permet de vous épanouir pleinement et qui vous donne un sentiment de satisfaction chaque jour.”
Oprah Winfrey
Voici ce que cela peut donner pour moi, il s’agit d’un extrait de ce que j’avais à cette étape lors de la recherche de mon Ikigaï:
- M’améliorer – Professions possibles : bloggeur, youtubeur, influenceur, rédacteur d’article, créateur de communauté, mentor
- Comprendre les résonnements humains – professions possibles : psychologue, conciliateur, médiateur, mentor
- Suivre l’évolution de projets – professions possibles : comptable, chef d’équipe, conseiller, gestionnaire, administrateur
- Organiser et coordonner – professions possibles : comptable, chef d’entreprise, entrepreneur, employeur
- Prendre soin de ma santé – professions possibles : bloggeur, influenceur, sportif, coach de vie, testeur, rédacteur
- Jouer aux jeux vidéos – professions possibles : influenceur, youtubeur, gamer, testeur de jeux vidéos, streamer
- Apprendre de nouvelles compétences – professions possibles : influenceur, mentor, lecteur, rédacteur d’avis, bloggeur
Il s’agit bien sûr d’un extrait qui ne s’applique qu’à moi mais cela permet si ce n’était pas encore le cas de comprendre l’idée de cette étape de sa réflexion.
Il en ressort pour ma liste l’envie de transmettre, de contrôler et d’apprendre. 🙃
Maintenant il faut le faire pour soi et voir ou cela nous mène !
Trouver son Ikigaï : Ce en quoi nous sommes doué(e)
On y approche petit à petit. 💪
Trouver son Ikigaï ne se fait pas en claquant des doigts mais une fois qu’on commence à le cerner cela nous ouvre énormément de perspectives.
La dernière étape est de filtrer notre liste en quoi nous sommes doué(e).
Pour certains de ces éléments on le saura car ils font déjà partis de notre quotidien mais pour d’autres cela sera plus de la projection.
Se rapprocher de la solution
En fonction des approches pour trouver son Ikigaï, certains vont commencer par ce en quoi ils sont doué(e).
Mais à mon sens, l’ouverture d’esprit pour sortir de sa zone de connaissance ne sera pas présente et on risque de passer à coté de l’essentiel.
Ici, en réfléchissant à ce en quoi nous sommes doué(e) en dernier nous permet de cristalliser notre pensée sur un ou deux trait(s) qui nous est propre et qui pourra découler à la découverte de notre Ikigaï.
On est tous conscient de nos forces et faiblesses, de ce en quoi nous sommes plus doué(e) dans la vie que la majorité des personnes de notre entourage. 😉
Pour ma part, j’ai toujours été doué pour expliquer les choses, vulgariser et transmettre ma façon de voir les choses en essayant de m’adapter à mon interlocuteur.
Tu auras sûrement d’autres traits qui te seront propre et qui ressortiront à ce moment. Il suffit de regarder dans ce en quoi nous excellons naturellement dans notre quotidien et de le rapprocher à ce qui reste de notre liste.
En effet, pour chacune de nos qualités identifiées il existe de nombreuses façon de l’exploiter.
Prenons l’exemple de ma liste pour imager un peu. J’ai noté en rouge ce en quoi je sais ne pas être doué, en vert ce en quoi je sais l’être et en noir ce que je ne sais pas encore.
- M’améliorer – Professions possibles : bloggeur, youtubeur, influenceur, rédacteur d’article, créateur de communauté, mentor
- Comprendre les résonnements humains – professions possibles : psychologue, conciliateur, médiateur, mentor
- Suivre l’évolution de projets – professions possibles : comptable, chef d’équipe, conseiller, gestionnaire, administrateur
- Organiser et coordonner – professions possibles : comptable, chef d’entreprise, entrepreneur, employeur
- Prendre soin de ma santé – professions possibles : bloggeur, influenceur, sportif, coach de vie, testeur, rédacteur
- Jouer aux jeux vidéos – professions possibles : influenceur, youtubeur, gamer, testeur de jeux vidéos, streamer
- Apprendre de nouvelles compétences – professions possibles : influenceur, mentor, lecteur, rédacteur d’avis, bloggeur
Cela permet d’éliminer déjà plusieurs professions.
Bien sûr ici pour l’exemple je n’ai pris qu’une partie de ma liste et je n’ai pas listé l’ensemble des professions pouvant se rattacher à chaque point.
Il faut donc faire pareil pour sa propre liste afin de la diluer encore un peu et ne garder que ce en quoi nous sommes doué(e) et ce en quoi nous pouvons l’être. 😊
Rester ouvert(e)
On arrive vers la fin de notre chemin pour trouver son Ikigaï.
Nous obtenons une liste de choses que nous aimons, que le monde pourrait avoir besoin et ce pour quoi on pourrait être payé(e).
Mais parmi elles, nous ne savons pas encore si nous sommes doué(e) pour tout.
C’est en général à ce moment que soit une profession en particulier saute au yeux en se disant : « C’est ça mon Ikigaï ! » soit que nous devons arrêter le tri.
Pourquoi arrêter le tri ? Parce que ce qu’il reste ne peut être filtrer sans pratique et test ! 😅
Il est donc arrivé le moment ou la phase de réflexion se termine et l’écoute de ses sensations prend le relai.
Reprenons donc notre liste qui doit contenir pleins d’annotations et de ratures.
Mettons la au propre avec la liste de l’ensemble des professions à tester qu’il reste.
Nous n’avons plus qu’à commencer à essayer, en fonction de notre temps disponible et de la profession cela ne sera pas toujours évident mais il faut penser à notre épanouissement futur. 😊
Pour commencer on peut cibler une profession et se renseigner dessus, regarder des vidéos pour se rendre compte un peu plus du quotidien éventuelle de sa pratique.
Pour ma part je suis en cours de recherche de mon Ikigaï justement et tu es le sujet de mon expérience. 🤣
C’est pour cela que je teste la vie de blogueur pour partager et échanger autour du développement personnel. Un domaine qui me passionne.
Trouver son Ikigaï : Et après ?
Lorsque l’on pense avoir trouver un début de réponse il arrive beaucoup plus de questions en général. 🙃
Passer le pas n’est pas simple et savoir si ce n’est pas qu’une envie passagère ou si le risque en vaut la chandelle est une vraie question.
Voici comment nous pouvons envisager l’approche des résultats de notre tentative de trouver son Ikigaï.
Tester son Ikigaï
En fonction de notre situation actuelle nous aurons plus ou moins de temps à consacrer à notre recherche.
Mais cela n’empêchera pas d’avancer dans la bonne direction ! 😊
Nous pouvons avoir une situation de salarié et nous consacrer à tester notre éventuelle future profession pendant notre temps libre.
Les retours en seront plus lents mais nous garderons la sécurité de notre emploi le temps d’en être sûr(e).
Et cela permet également de se tromper, autant de fois que l’on en a envie. Nous pouvons recommencer et tester ce qui pourrait nous plaire.
Pour ma part je trouve ça excitant de se dire que l’on peut tester tellement de choses et que parmi celles-ci il y en aura qui seront de véritables découvertes !
Donc je t’invite à te lancer. Teste et commet des erreurs autant que nécessaire. Même en se trompant on se rapproche de la bonne réponse. 🤔
Se lancer ?
Qu’est ce qui nous retient en général ? C’est la sécurité financière !
il existe plusieurs façons de garder cette sécurité et de se lancer en ayant le moins de risque.
Tout d’abord la possibilité de lancer une entreprise et d’y travailler à coté de son emploi salarié. 😎
Cela permet d’attendre que les résultats soient au rendez-vous avant d’envisager quitter son ancien travail.
Pas simple ? Nous n’avons pas tous la possibilité de jouir de notre temps libre comme il se doit ! Nous avons des obligations qui ne peuvent pas attendre !
Si cette situation se rapproche de ce que l’on vit actuellement il existe d’autres possibilité pour lancer notre activité secondaire.
En fonction de notre facilité de trésorerie on peut envisager de prendre une année sabbatique. Prendre le temps de travail gagné et le consacrer à notre Ikigaï.
Sinon se bloquer une période donnée chaque semaine que ce soit pendant ses heures de travail ou en dehors et l’utiliser pour travailler sur notre projet.
Nous sommes dans une époque ou il est normal d’avoir un travail qui nous prend près des 2/3 de notre temps disponible.
Mais nous n’envisageons pas de prendre ne serait ce qu’une heure par jour à trouver notre Ikigaï ? Il faut sortir de cette logique et se donner les moyens d’être heureux ! 😊
Donc si ta liste comporte des professions qui te font vibrer rien qu’à l’idée de les essayer lance toi et n’attend pas de regretter ton inaction !
Et si aucune des professions restantes semble convenir il suffit de recommencer ! D’autres idées viendront et le résultat en vaudra la peine !
Pour conclure
Dans la quête du bonheur et de l’accomplissement personnel trouver son Ikigaï est primordial !
Pour ce faire je te propose ma démarche que j’ai élaboré après pas mal de documentation que ce soit en livres, sites internet et vidéos qui traitent du sujet.
Donc pour trouver son Ikigaï il faut :
- Commencer par ce qu’on aime
- Ne garder que ce que le monde a besoin
- Chercher ce pourquoi on peut être payé(e)
- Filtrer avec nos domaines de compétences
- Tester et se donner les moyens de réussir !
Il s’agit d’une démarche qui peut prendre du temps mais même le parcours en est agréable. Se tester et en apprendre sur soi ne sera jamais une chose perdue et nous apportera des réponses sur notre identité.
Je te souhaite le meilleur ! 😉
Pour aller plus loin
Voici un partage de contenus qui peuvent nous aider à explorer notre connaissance de soi et trouver son Ikigaï.
Des livres utiles
- Apprendre à s’Ecouter – Prem Rawat
- La Semaine de 4 Heures – Timothy Ferriss
- La Stratégie de la Boite Noire – Matthew Syed
- Le Choix du Courage – Ryan Holiday
- Les Quatre Accords Toltèques – Don Miguel Ruiz
- Réfléchissez et Devenez Riche – Napoleon Hill
Définition(s) utile(s)
- Ikigaï
- Pensées limitantes
Ton avis compte
Si tu connais d’autres méthodes pour trouver son Ikigaï ou souhaites faire un retour d’expérience la section commentaire est là pour cela ! C’est toujours important de partager nos trouvailles et nos réussites pour l’accomplissement de chacun. 😊
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